-cambodge-

-Kampot . 16 nov 2009-

Durant plusieurs jours nous arpenterons les rizières et les petits villages avec toujours le même humble bonheur. Les gens sont accueillants, souriants, veulent partager un thé ou juste un moment ensemble. Ce que nous retenons une fois de plus, ce sont ces sourires et cette douceur de vivre. Les conditions de vie nous apparaissent très sommaires mais nous ne sommes pas sûrs que les populations soient malheureuses et aient envie de changer de mode de vie. Est-ce simplement par pudeur que nous ne décelons aucune trace de malheur, de tristesse ou de pauvreté dans leurs regards ou leurs gestes ? Leur simplicité ne serait-elle pas porteuse de bien plus de bonheur que nous ne pourrions en ressentir dans nos modes de vie capitalistes ?…