-Angkor National Park . 8 nov 2009-
On les voit aujourd’hui, ici ou là, seuls ou en groupe, estropiés, aveugles, amputés, ou cherchant à capter la générosité des voyageurs en vendant des livres sur l’oppression khmer rouge ou exécutant, par exemple, sur des instruments de fortune, les mélopées traditionnelles d’une époque autrefois heureuse. Cette époque d’avant les « champs de la mort ». Il y a plus de 400 accidentés par an des mines posées sous le régime Pol Pot.