-Ruta 1 . 23 fév 2009-
Lorsque les trajets sont trop longs, nous privilégions de nous arrêter au calme près des familles esseulées de l'altiplano. Leur habitations sont très précaires et nous demandons toujours si nous ne les dérangeons pas avant de nous garer car nous ne voulons pas effrayer ce peuple vivant loin de tout. Même si la réserve est de rigueur, nous sommes généralement bien accueillis ; les enfants aident beaucoup...
Sully’Van penne vraiment à avancer. D’épaisses fumées blanches sortent du pot d’échapement mais envahissent également notre intérieur rendant la respiration extrèmement désagréable. Il toussote, crachotte, parfois s’arrête et nous redémarrons quand il est reposé. Il semblerait que cela vienne de l’altitude, du manque d’oxygène et également d’une qualité de gasoil plus que douteuse…