-bolivie-

-Salar de Uyuni . 22 jan 2009-

La nuit tombe, la colle n’est pas du tout sèche, nous devons dormir ici. Le lendemain matin, la colle n’est pas encore sèche, il faut patienter sinon l’essence coulera à nouveau. Un autre problème survient : dans l’urgence de devoir récupérer l’essence qui coulait, j’ai vidé l’eau des jerricanes sans penser que notre réservoir principal était presque vide et que nous allions devoir rester plusieurs jours au milieu de nulle part.