-Arltunga . 19 juil 2009-
Nos promenades se transforment souvent en une chorégraphie de moulinets de bras très sportive. La mouche australienne, qui se déplace visiblement par groupe compact, est d’une ténacité indescriptible. Elle affectionne particulièrement les narines, les oreilles et la bouche, à la recherche d’humidité… beurk ! Nous avons trouvé la parade pour pouvoir tout de même apprécier nos randonnées : un « élégant » filet-moustiquaire que l’on met par-dessus notre chapeau. Bien fait pour les mouches et tant pis pour le look !!!